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Résumé général de La Boîte à Merveilles

Si vous cherchez un résumé général de La Boîte à Merveilles, nous vous félicitons, vous êtes bien au bon endroit ! Nous vous souhaitons bonne lecture.

La solitude d’un narrateur adulte

Les premiers mots de La Boîte à Merveilles nous présentent un narrateur adulte. Il déclare qu’il souffre d’un sentiment de solitude si intense qu’il ne dort pas le soir, quand les autres dorment. Ce narrateur insomniaque remonte à son enfance et cède alors la parole à un narrateur enfant, Sidi Mohammed.

Il s’agit bien évidemment du même narrateur. Le rôle de l’enfant est raconter les événements tels ils se sont passés. Celui de l’adulte est commenter ou exprimer certaines impressions qu’il en garde toujours. Ainsi, le narrateur nous présente son quartier, Dar chouafa où il habitait avec d’autres voisins, le msid (l’école coranique), le bain maure et bien d’autres lieux au fil des pages.

Un enfant rêveur fasciné par l’invisible

Nous signalons dans ce résumé général de l’œuvre que le narrateur insiste sur son caractère d’enfant rêveur, fasciné par le monde invisible. En effet, c’est un enfant qui a des relations extraordinaires avec des objets hétéroclites. Quoiqu’ils soient d’une grande simplicité, ils prennent aux yeux de l’enfant les dimensions d’palais de rêves, et peuvent lui parler, jouer avec lui, se transformer en personnages du monde magique. Ce sont des amis qui lui procurent un enchantement incroyable, et lui portent secours dans ses moments de chagrin.

Ce sont les objets de sa Boîte à Merveilles! Sidi Mohammed est un enfant qui se distingue clairement des autres enfants de son âge. Ces gamins qui sont épris par le monde visible et réel, surtout quand ce monde se concrétise en friandises!

La querelle des deux voisines, et leur réconciliation !

Le premier événement exceptionnel qui brise la monotonie de la vie racontée par le narrateur serait la querelle entre les deux voisines. La mère du narrateur et Rahma se disputent à cause du linge, un lundi.

C’est une dispute acharnée suite à laquelle les deux femmes ne s’adresseront plus la parole. Une rupture qui durera longtemps, jusqu’au jour où Rahma va perdre sa fille Zineb pour. Comme par magie, après ce malheur, les deux voisines se réconcilieront sans même avoir besoin de parler du jour de leur querelle.

Lalla Aîcha et la guérison chez Sidi Ali Boughaleb

Un mardi, la mère du narrateur est malade. L’ancienne voisine Lalla Aïcha vient lui rendre visite. Elle lui conseille de visiter le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb pour retrouver sa santé et celle de son fils. Ce conseil salvateur offre au narrateur deux jours et demi de repos de l’école coranique.

Zineb perdue, Zineb retrouvée.. on célèbre !

Vendredi suivant, Rahma va perdre sa fille en route vers un baptême. On la retrouvera dans la maison des Idrissides le même jour, sa mère décide donc d’inviter les pauvres pour remercier Dieu.

La nuit, Sidi Mohamed sort les objets de la boîte à merveilles à la recherche de l’enchantement, mais ses amis refusent de lui offrir ce qu’il veut. Il éclate en sanglots à la fin d’une journée agitée.

Les malheurs de Moulay Larbi

Dans les premiers jours du printemps, Sidi Mohammed et sa mère rendront visite à Lalla Aïcha. C’est une occasion pour apprendre les mauvaises nouvelles sur Moulay Larbi et son travail.

Bientôt une fête, Achoura !

Une fête pleine de joie approche, c’est Achoura. Le narrateur y consacre une partie importante pour en décrire les préparatifs et la célébration dans le msid, comme dans le quartier.

Le drame du souk, des bracelets de mauvais augure

L’événement perturbateur de La Boîte à Merveilles est sur le point de se produire. Le père du narrateur décide un lundi d’accompagner sa femme et son fils pour acheter des bracelets.. Au souk, la famille vivra un drame qui finira dans les larmes.

La femme ne veut plus de ces bracelets de mauvais augure, elle est persuadée qu’ils vont semer le malheur dans la maison, mais finit par les prendre.

Malheureuse Lalla Aîcha, malheureuse Lalla Zoubida !

Le lendemain, Lalla Aïcha rend visite à Lalla Zoubida. Elle l’informe du second mariage de son mari Moulay Larbi. Quelques jours plus tard, le père annonce à sa femme qu’il a perdu son capital. Il compte travailler comme moissonneur dans les environs de Fès pour rétablir ses pertes.

Biens qu’elle soit catégoriquement contre le départ de son mari, Lalla Zoubida finit par admettre face aux arguments du père.

Le départ de Si Abdeslam, une décision amère

Le départ de Si Abdeslam a coïncidé avec la maladie de Sidi Mohammed qui l’empêchera d’aller au msid pendant une longue période.

Un repos prolongé pour Sidi Mohamed

La mère décide de retenir son fils à la maison non seulement car il est malade, mais aussi parce qu’elle se sent seule.

Elle décide d’emmener Sidi Mohammed chaque semaine à un sanctuaire dans la ville. Elle visite alors Sidi El Arafi, le voyant aveugel, accompagnée de son amie dévouée Lalla Aïcha, deux jours après le départ du père.

Si Abdeslam ne tardera pas à envoyer un messager à sa famille apportant des provisions et de l’argent.

La Boîte à Merveilles, enfin des évènements heureux!

Face aux interminables problèmes que Moulay Larbi devait affronter avec sa nouvelle jeune épouse, le divorce entre lui et sa seconde femme sera bientôt prononcé devant notaire.

C’est un événement qui sera reçu avec beaucoup de joie da la part de la famille du narrateur, mais une joie encre plus grande enveloppera toute la maison de la voyante avant d’apprendre la nouvelle du divorce. c’est le retour du Maalem Abdeslam, le père du narrateur, qui arrivera après une longue absence aux environs de Fès.

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